28 au 30 mars

Avant de regagner le pays, nous passerons quelques jours à Moncarapacho. 3 Km seulement séparent la petite commune de notre camping. Il n'y a pas grand monde dans les rues l'après-midi. Ici, les ruelles sont pavées comme dans la plupart des villes portugaises. Ce symbole culturel du 19ème siècle est aujourd'hui, menacé par la rigueur budgétaire. 

Ce mardi, il y a de l'animation dans l'air. Près du bar, l'animal se laisse doucement dorer au dessus du brasier. A midi, c'est la fête et tout le monde est convié au cochon grillé organisé dans le camping.

Faut bien prendre les grands moyens !!!

La cuvée du camping

 Un petit apéro avant de quitter Moncarapacho et le Portugal.

A très bientôt.

28 mars

 Samedi, c'est changement d'heure, dimanche, c'est encore changement d'heure et lundi, c'est changement d'heure aussi. Où sommes-nous donc ? Nous avions dit : changement de continent mais tout de même, c'est un peu fort. Aurions-nous pris le mauvais ferry ?????????? 



Sur la route 66, à nous le Far West !



La Mère Denis, où est-elle ?



Nous sommes sur la route 66, chez Eugène et Chantal

Surprise : C'est dans un camping à la ferme, non pas dans l'ouest américain mais au Portugal que nous faisons étape pour quelques jours. Nous sommes à une  quarantaine de km de la frontière espagnole et seulement 5 km de la station balnéaire de Fuseta.   

 
　

 

25 mars

Comme eux, nous changeons d'horizon.

 

Une jolie façon de cacher les projecteurs ou les antennes

Les jardiniers sont déjà au travail.

 

Les dernières mosquées

   

 

Samedi 25 mars, nous longeons la Méditerranée pour rejoindre le port d'embarquement de Ceuta. Le ciel est bleu, la mer également. Il y a peu de monde à la frontière et les formalités marocaines sont vite expédiées. Mais pour rentrer en Europe, vous vous dites que c'est sans doute bien plus difficile avec les événements récents. Désolés de vous décevoir, il n'y a aucun contrôle, même pas un semblant de coup d’œil sur nos passeports lorsque nous mettons le pied sur cette enclave espagnole. 

 

Arrivée à la frontière marocaine

Du côté espagnol, c'est changement de ton : les églises ont remplacé les minarets et les mosquées.

Nous quittons le continent africain avec le ferry de 13H pour soixante minutes de traversée. 

 

Embarquement 

En montant sur le ferry, on nous recommande de bien fermer nos soutes. Les migrants n'hésitent pas à s'y faufiler. Deux personnes s'étaient cachées sous un camion et deux autres dans un camping-car.

Bye, bye, nous vous donnons rendez-vous sur le continent européen.

23 et 24 mars

Nous avons prévu de reprendre le ferry samedi. Nous remontons vers le nord avec une étape à Kénitra avant de gagner Martil à moins de 40 km de la frontière. Les cultures s'étendent à perte de vue de chaque côté de la route. 

Plantations de pommes de terre

  

Attention aux panneaux de police, il y a des contrôles à chaque entrée de ville

Les herses dissuasives

2 passagers + le chauffeur à l'avant, 4 passagers à l'arrière

 Vendredi, ce sont nos dernières emplettes en ville.

Louis Vitton en vrac sur les étals.

Compositions de fleurs naturelles

 Joli rangement de chaussures

 

Le café ambulant sur la poussette (la bouilloire fume)

Mais alors, quel étonnement lorsque nous avons fait le dernier plein de carburant pour nos "maisons roulantes" !!! 
INCROYABLE................Celui-là aussi, en avait besoin. 

Ca consomme combien cet animal ?